PSYCHOLOGUE ANGOISSE

Consultations en cabinet ou vidéo

Comment vaincre définitivement les crises d'angoisse

📚 FOIRE AUX QUESTIONS
  • 1 | DEFINITION CRISE D’ANGOISSE : anxiété généralisée, trouble panique : si vous vivez des crises d’angoisse, je peux vous accompagner à les vaincre définitivement. C’est la peur d’avoir peur avec des milliers de variantes comme : la peur de mourir, peur d’aller sur l’autoroute ou de conduire (amaxophobie), peur d’avoir peur, peur de vomir (émétophobie), peur d’être fou, peur de faire du mal à soi ou à un autre ou la peur de ne jamais s’en sortir. Ces peurs s’accompagnent généralement de symptômes physiques comme la tachycardie, l’impression de pas respirer, des tremblements, des vertiges, une impression de dissociation, ect… Les proches auront tendance à banaliser : « c’est dans la têtepense à autre chose ! ». Mais plus le temps passe et plus les crises prennent de la place, tandis que les techniques de type relaxation et les médicaments n’attaquent pas le problème de fond. Plus on tente de comprendre ou de fuir l’angoisse, plus elle se renforce. Mon rôle est de vous accompagner en psychothérapie pour les dépasser définitivement.

  • 2 | COMMENT ALLEZ-VOUS M’AIDER : ceux que j’accompagne m’expliquent être à la recherche d’une solution vraiment efficace pour sortir de l’angoisse. Ils sont sceptiques, ne s’intéressent pas à l’origine du problème, ne veulent pas parler en monologue au psychologue ou faire de la relaxation. C’est pourquoi je propose une stratégie concrète avec des étapes, basée sur l’introspection. Ayant moi-même vécu des crises d’angoisse de mes 12 ans à mes 20 ans, je sais qu’on a du mal à s’imaginer pouvoir en être libéré un jour. C’est pourtant possible et j’aurais tout donné pour trouver une personne capable de m’aider en ce sens. Mon protocole est différent de ce qui existe, car il ne s’agit ni d’EMDR, ni d’hypnose, ni de relaxation, mais d’un protocole personnel. La façon dont je procède est simple : je m’attaque à la peur d’avoir peur elle-même afin d’enrailler l’effet boule de neige. Contrairement à d’autres thérapeutes, j’ai moi-même vécu des crises d’angoisse jusqu’à mes 20 ans, et je sais qu’on pense ne jamais s’en sortir. C’est pourquoi j’accompagne sur ce motif les personnes les plus sceptiques, celles qui ont déjà tout essayé et qui ont perdu l’espoir de s’en sortir définitivement un jour. J’ai affiné mon protocole avec des milliers de patients et c’est aussi grâce à celui-ci que je m’en suis moi-même sortie. 

Psychologue Antibes Maxime Tarcher spécialisé dans les crises d'angoisse angoisse angoisse

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PRESENTATION

Je m’appelle Maxime Tarcher et je suis psychologue en libéral depuis 2016. J’accompagne chaque mois une centaine de personnes à traverser des étapes de la vie (angoisses, dépression, deuil, burn-out, perte de la joie de vivre). Une de mes spécialités est d’aider à vaincre définitivement les crises d’angoisse lors de consultations en vidéo (depuis n’importe où dans le monde) ou en présentiel à mon cabinet sur Antibes (Alpes-Maritimes, 06). Je suis loin du stéréotype du psy qui passe la séance à hocher la tête.

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PARCOURS

Pour prendre connaissance de mes différences avec les autres thérapeutes, postulats, parcours et orientations, je vous invite à visionner la vidéo de présentation de mon cabinet que vous trouverez directement sur la page d’accueil de mon site internet.

⭐ AVIS D'ANCIENS PATIENTS
📖 QUESTIONS EN LIEN AVEC L'ANGOISSE

Photo d'illustration du site de Maxime Tarcher Psychologue spécialisé dans les angoisses angoisse

Biologiquement,
on observe une tendance naturelle chez tous les organismes vivants à survivre par soi-même ou au travers de la transmission des gênes. On évite ce qui est néfaste pour l’organisme et on va vers ce qui va le faire perdurer. Naturellement et au-delà même d’en avoir conscience, tout être vivant va fuir ce qui risque de mettre un terme à ses fonctions vitales. On observe ce mécanisme tant chez les champignons, que chez les animaux ou les végétaux. La raison, le fameux pourquoi de ce mécanisme inné qui fait tendre le vivant à rester vivant est un débat qui n’a pas encore de réponse définitive. 

Psychologiquement,
ce principe biologique d’évitement de la douleur et de la mort est exacerbé chez l’humain grâce au développement des circonvolutions de son cerveau. La complexification de l’intelligence amène l’homme à pouvoir prendre conscience d’un jour dans le futur où il va perdre la sensation d’exister. Là où beaucoup d’espèces n’ont pas les capacités de l’imaginer, l’humain en est capable, car il a en mémoire des situations qui lui permettent d’entrevoir ce qui arrivera pour lui dans un futur plus ou moins proche. C’est là qu’avec l’angoisse, la sensation d’exister va se prendre les pieds dans le tapis en bouclant sur elle-même : « si j’existe, un jour viendra où je n’existerai plus à nouveau« . C’est là que l’angoisse s’invite dans notre vie.

Philosophiquement
Dire que tous les humains ont peur de la mort est une généralité. Il serait plus précis de dire que certains ont peur de leur représentation de la mort. D’autres n’y pensent pas ou ne s’en laissent pas le temps. D’autres l’anticipent (crises d’angoisse). Mais puisque la mort désigne l’arrêt des fonctions vitales du corps et par extension l’absence de la perception de la réalité au travers du prisme de la personnalité et des sens, il semble difficile d’imaginer ou de penser la sensation de la mort. Lorsqu’elle arrive, il devrait ne plus y avoir personne pour la percevoir, à moins d’être vivant et de la constater de l’extérieur.

Spirituellement,
si l’on met de côté les expériences de mort imminente (EMI) ou les travaux sur les états modifiés de conscience (EMC) qui laissent entrevoir la possibilité qu’une forme de conscience puisse perdurer après la mort du corps physique, l’angoisse de la mort peut aussi être appréhendée comme un enseignement. Celui, comme dirait les Bouddhistes : « d’apprendre à mourir avant de mourir« . Car ne pas avoir peur de la mort de notre vivant, c’est ne pas redouter le changement, la perte d’un proche ou d’une possession matérielle. Ces compréhensions, si elles ne sont pas uniquement théorisées mais intégrées, peuvent amener à une forme de paix intérieure, du moins dans un environnement où les besoins primaires (manger, dormir, ne pas être seul) sont comblés. Dans le cas contraire, la question de la peur de la mort ne s’intellectualise pas, car le cerveau n’a pas l’énergie pour s’adonner à la philosopher. L’angoisse de la mort se vit alors de l’intérieur et le corps s’oriente au-delà de la volonté consciente vers sa survie.

Le plus gros problème avec les crises d’angoisse, c’est que les tentatives pour éviter la survenue des symptômes vont avoir tendance à les renforcer. On va chercher à écouter avec anxiété les moindres manifestations somatiques « anormales » (accélération du rythme cardiaque, sensations désagréables, etc.) et cette hypervigilance va accroître le risque de déclencher une crise. Cela va même renforcer la croyance selon laquelle les crises sont dangereuse : « elles sont terrifiantes, la preuve je fais tout pour les éviter », se dira notre petite voix dans la tête. Ainsi, « le problème c’est la solution », car ce sont les tentatives pour lutter contre l’angoisse qui paradoxalement, renforcent l’angoisse.

En résumé, plus on tente de fuir l’angoisse, plus elle se renforce.

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Pour illustrer ce principe, j’ai l’habitude de comparer la crise d’angoisse à une hydre. L’hydre est une créature mythologique réputée immortelle. Coupez-lui une tête, deux autres repoussent. C’est une bonne image pour parler de l’angoisse. Tentez de l’affronter en cherchant à comprendre le pourquoi du comment, c’est un peu comme lui couper une tête : vous avez ensuite deux nouveaux problèmes.

  • Exemple : « je sais que j’angoisse si je vais prendre le train, donc je vais prendre uniquement la voiture. C’est logique. Mais maintenant, je commence à angoisser de me dire que je ne peux plus prendre le train et j’ai peur d’angoisser plus tard à l’idée de prendre la voiture… »

L’angoisse est généralement irrationnelle. Tenter de raisonner de manière rationnel avec quelque chose d’irrationnel est un jeu perdu d’avance.

  • Exemple : « je sais que j’angoisse si je vais dans la salle de classe, donc je travaillerai maintenant dans une autre salle. Mais… que faire si j’angoisse en allant dans l’autre salle aussi ?« 

Plus on tente de fuir l’angoisse, plus elle se renforce. Plus nos proches tentent de nous rassurer, plus cela va nous énerver, car la probabilité zéro n’existe pas et l’angoisse s’engouffre dedans. J’observe d’ailleurs souvent la création de rituels pour tenter de supporter l’angoisse.

  • Exemple : « je sais que si je termine mon assiette, j’aurai mal au ventre. Je laisse donc toujours un peu de nourriture pour éviter d’avoir mal. »

Pour affronter réellement l’angoisse, il ne faut donc pas tenter de la raisonner, sinon cela revient à couper une tête à l’hydre pour se retrouver avec deux nouvelles angoisses.

C’est là ma spécialité : je vous accompagne pour la vaincre définitivement, pas pour apprendre à faire des compromis avec elle. Pour cela, une fois les enjeux inconscients tissés, nous réaliserons une grosse introspection afin d’attaquer la cause profonde de l’angoisse.

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Statistiquement, la plupart de ceux que j’accompagne n’excèdent pas 4 séances.

Concernant la récurrence, on va définir ensemble ce qui est le mieux, ce qui donne parfois des consultations toutes les semaines ou tous les mois. C’est une décision commune prise en fonction de l’avancée dans la résolution de la problématique.

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Qu’est-ce qu’une crise d’angoisse ?

La crise d’angoisse survient de façon brutale et peut durer de quelques minutes à quelques heures. La personne va ressentir une très grande peur (peur de la mort, peur d’avoir peur, d’étouffer, de mourir, …) et des sensations physiques désagréables (palpitation, sueurs, tremblements, sensations douloureuses dans le ventre ou la gorge, etc). Il s’agit de sensations qui surviennent car au niveau de la biologie, le système nerveux cherche à se défendre d’une menace (parfois avec objet comme dans les phobies, parfois sans objet, comme dans la peur d’avoir peur). 

Quelle est la différence entre l’anxiété et l’angoisse ?

  • L’anxiété : anticipation d’une menace future avec objet (peur de quelqu’un, d’une situation ou de quelque chose en particulier), qui s’accompagne d’un sentiment désagréable d’appréhension, d’une tension musculaire et d’un état de vigilance. Les personnes anxieuses sont dans cet état de façon régulière.
  • L’angoisse : anticipation d’une menace future sans objet (peur d’avoir peur, peur de ses propres pensées, peur de mourir sans raison), qui s’accompagne d’un sentiment désagréable d’appréhension, d’une tension musculaire et d’un état de vigilance. Les personnes angoissées sont dans cet état de façon régulière.
  • La crise d’angoisse : c’est un pic dans l’intensité de l’angoisse. On retrouve les manifestations de l’angoisse démultipliées qui s’étalent dans un laps de temps de plusieurs minutes à plusieurs heures. 

Explication scientifique :

Un stress commence dans le cerveau à cause d’un déclencheur  (peur d’avoir peur, peur de mourir, phobie, …). A ce moment, l’amygdale (la zone des émotions) envoie un signal à l’hypothalamus (la zone qui communique avec le reste du corps). L’hypothalamus stimule alors le système nerveux qui pousse les glandes surrénales à produire de l’adrénaline. Conséquences : le rythme cardiaque s’accélère, la respiration est plus rapide et les niveaux de sang et d’oxygène des muscles sont plus élevés, pour préparer l’organisme au combat ou à la fuite. 

Symptômes psychologiques :

  • impression de mourir ;
  • perte de contrôle de soi ;
  • sentiment de dissociation ;
  • peur panique d’être dans son propre corps.

Symptômes physiologiques :

  • des essoufflements ;
  • accélération du rythme cardiaque ;
  • sensation d’évanouissement ;
  • douleurs thoraciques ;
  • tremblements ;
  • des nausées ;
  • difficultés à avaler ;
  • forte sudation et des picotements dans les doigts.

Combien de temps dure une crise d’angoisse ?

Généralement 5 à 20 minutes. La crise d’angoisse peut cependant agir par « vagues », avec la sensation de panique qui revient dès lors que la pensée se demande si cela ne va pas revenir. On arrive alors sur des crises qui durent plus longtemps.

Quelques chiffres

Selon la Haute autorité de santé (1), 15% des adultes de 18 à 65 ans en France présentent des troubles anxieux sévères sur une année,  dont 3% pour les crises d’angoisse. Globalement, la fréquence est deux fois plus élevée chez la femme que chez l’homme.

Source : (1) de Santé, H. A. (2007). Affections psychiatriques de longue durée et troubles anxieux graves. Saint-Denis La Plaine: HAS.

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Les crises d’angoisse (très grande peur et sensations physiques type palpitation, sueurs, tremblements, sensations douloureuses dans le ventre ou la gorge, etc) peuvent avoir de nombreux déclencheurs. Les évènements listés ci-dessous sont souvent combinés et peuvent être autant des déclencheurs qu’être à l’origine de la première crise d’angoisse :

  • Avoir peur d’avoir peur : c’est sans doute le plus populaire des déclencheurs. La peur d’avoir peur (phobophobie) peut déclencher une crise d’angoisse en faisant boucler la pensée sur elle-même : « et si cette stratégie ne fonctionne pas ? », « et si j’avais vraiment un problème », « et si les médecins se trompaient ? », « et si j’avais une crise d’angoisse là maintenant ? » (on parle du terme psychologique « d’anxiété anticipatoire »). Elle est induite par le doute et peut relancer en boucle les autres peurs. Ce déclencheur est d’ailleurs souvent consécutif à une crise d’angoisse. Le sujet va développer des ruminations autour des angoisses, une hypervigilance aux sensations corporelles et/ou des autocritiques type « ce n’est pas normal », « je ne devrais pas être comme cela ». La peur est alors sans objet, à l’inverse des phobies. Le sujet a du mal à cerner le pourquoi de la crise, ce qui génère encore davantage d’anxiété et de ruminations.
  • Phobies : les phobies peuvent être des déclencheurs de la crise d’angoisse. La peur d’une situation précise (foule, conduire, agresseur), d’un objet (araignées, nourriture) ou d’une sensation invisible (définie par exemple comme des entités, de l’énergétique), … Les phobies font souvent suite à un traumatisme, mais pas nécessairement : l’évolution est parfois graduelle, type terrain anxieux évoluant vers des attaques de panique. Dans la phobie, la peur est liée à une représentation précise : « j’ai peur des rats, car j’ai peur qu’ils rentrent chez moi et viennent me dévorer ». Toutes les phobies peuvent potentiellement déclencher des crises d’angoisse.
  • Avoir peur de la mort / de la maladie : c’est l’angoisse de la finitude, on se rappelle qu’on est mortel. Cette angoisse est généralement déclenchée après avoir été au contact d’un proche malade, en ayant soi-même frôlé la mort ou en ayant eu l’impression d’avoir été en danger (hypoglycémie, malaise, tachycardie, …). De façon générale, ce qui a provoque une perte de contrôle du corps de type malaise peut être le déclencheur et/ou l’origine d’une crise d’angoisse. Par exemple, l’hypoglycémie (lorsque le taux de sucre dans le sang est trop bas), provoque des symptômes similaires à ceux d’une crise d’angoisse, tels que des étourdissements, des tremblements et une transpiration excessive. Une crise de panique peut alors survenir.
  • Avoir peur de ses propres pensées / de ne pas contrôler ses actes / de la folie : avec une interrogation sur sa santé mentale « est-ce que je suis fou si je pense ceci ». Entre dans cette catégorie la peur de faire du mal à soi, faire du mal à quelqu’un ou avoir peur d’avoir des pensées « malsaines » (notion subjective).
  • Angoisser à l’idée de n’avoir personne avec soi : « lorsque mon copain n’est pas là, je fais des crises d’angoisse ». C’est l’angoisse d’abandon qui s’exprime, avec l’idée d’être en danger s’il n’y a pas la présence de quelqu’un, de quelque chose (objet) ou une présence (animal de compagnie).
  • Actualités : le climat actuel, les chaînes d’infos en continue, peuvent générer de l’anxiété et par extension faire naître une crise d’angoisse. Les images des bombardements qui tuent des centaines de civils, les conséquences économiques de la guerre, une possible extension du conflit au-delà de l’Ukraine, une éventuelle attaque nucléaire, les attentats de 2015 et la menace terroriste, les gilets jaunes, la pandémie de Covid-19, la vaccination forcée, … Ces épreuves d’endurance s’enchaînent sans le répit nécessaire dont nous aurions besoin pour reconstituer nos ressources psychiques. De plus, certains traumas, comme le drame de la Shoah, se transmettent inconsciemment dans certaines familles et des inquiétudes plus ou moins refoulées peuvent alors être réactivées par l’actualité et déclencher des crises d’angoisse : « c’est bientôt la fin du monde », « il n’y a plus aucun espoir pour notre monde et nos enfants ».
  • Aliments : la caféine contenue dans le café ou les boissons énergisantes peuvent être à l’origine d’une crise de panique chez les personnes sujettes à l’anxiété. De même, l’alcool diminue la quantité de certaines hormones dans le cerveau, comme la sérotonine, qui contribuent à réguler et équilibrer l’humeur, ce qui occasionne parfois une crise de panique.
     
  • Médicaments : certains antidépresseurs peuvent accroître l’anxiété et déclencher une crise de panique au cours des premières semaines d’utilisation et lors d’une modification de dosage.
  • Hallucinogènes : cannabis, cocaïne, héroïne, LSD ou toutes autres substances susceptibles de déclencher un état modifié de conscience sont des facteurs déclencheurs ou à l’origine de nombreux troubles, notamment des crises d’angoisse.
  • Méditation / transe : contre-intuitivement, une pratique approfondie d’une stratégie qui génère un état modifié de conscience peut amener à vivre une crise de panique. La sensation de dissolution ou de dissociation engendré par la pratique peut faire paniquer la pensée. Toutefois, le cadre dans lequel s’inscrit généralement ce type de pratique (connaissance de soi) peut être un bon moyen d’apprendre à la gérer.

Tous ces déclencheurs s’accompagnent parfaitement en psychothérapie.

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J’ai eu de fortes crises d’angoisse de mes 12 ans à mes 20 ans.
Pour m’en sortir, j’ai testé beaucoup de protocoles différents, allant de la méditation à la pensée positive, ect… mais rien n’a jamais fonctionné. J’ai pensé un moment que je ne m’en sortirai jamais. C’est l’introspection qui m’a finalement aidé à guérir. J’ai eu la chance de la pratiquer lors d’un voyage initiatique dans la forêt Amazonienne. Un travail intérieur évidemment difficile à résumer en quelques mots, mais qui s’est étalé sur plusieurs jours et qui m’a fait rencontrer la folie de la pensée. J’ai maintenant dans mon cœur un immense respect pour ces hommes et femmes médecines qui permettent à des étrangers du bout du monde de partager leurs repas, leurs visions du monde et leurs rituels. C’est à partir de ces compréhensions que j’ai développé le protocole pour sortir des crises d’angoisse que je propose en thérapie à mes patients. Soyez rassurés, la stratégie que je propose en vidéo et cabinet s’applique partout et ne nécessite rien. J’ai conscience que cette histoire sort de la norme, mais mon parcours n’est pas uniquement académique et la confiance que je place dans l’inconscient lors de mes thérapies vient en partie de mes voyages introspectifs. Aujourd’hui, je suis complètement sortie des crises d’angoisse, ce qui est quelque chose que je n’aurai jamais pensé possible. J’ai rencontré beaucoup de gens qui apprennent à vivre avec les crises, mais peu qui s’en sortent réellement totalement. C’est précisément cela que je vous propose en thérapie.

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  • Médecin et check-up médical : avant toute chose, si vous faites des crises de panique, parlez-en à votre médecin traitant. Un professionnel de santé pourra faire des examens pour exclure toute pathologie sous-jacente qui pourrait provoquer vos symptômes. Il est important d’exclure d’abord les risques avant de conclure que les crises n’ont pas de fondement biologique.
  • Médicaments : les médicaments contre l’angoisse les plus courants sont les benzodiazépines. Les benzodiazépines sont aussi appelés tranquillisants mineurs, sédatifs ou hypnotiques. Lorsqu’ils sont utilisés de façon approprié, les benzodiazépines sont des médicaments sûrs et efficaces. Toutefois, ils peuvent induire une dépendance ou faire l’objet d’abus. C’est pourquoi le médecin recommande généralement de n’en faire qu’un usage occasionnel ou de courte durée. Les benzodiazépines accroissent l’activité du neurotransmetteur GABA (acide gamma-aminobutyrique), une substance chimique apaisante présente dans le cerveau. Elles entraînent aussi de la somnolence, favorisant le déclenchement et le maintien du sommeil. Les effets secondaires des benzodiazépines sont, à faible dose : somnolence, sédation, étourdissements et perte d’équilibre.
  • Complément alimentaire : On dit souvent que le magnésium est le minéral du stress, de l’anxiété et des angoisses. Publiée dans British Journal of Nutrition, une étude (1) de 3000 participants montre que les personnes ayant les consommations de magnésium les plus élevées étaient aussi les moins sujettes à l’anxiété et à la dépression (réduction du risque de 39 et 55% respectivement). Cette étude vient conforter l’hypothèse de l’utilité du magnésium contre la dépression et l’anxiété qui avait déjà été mise en lumière dans des essais cliniques antérieurs. Prendre du magnésium en complément d’un accompagnement thérapeutique aide à diminuer les symptômes de l’angoisse. J’ai l’habitude d’en conseiller en complément de mon accompagnement. Je recommande généralement celui-ci.

    Source : (1) Anjom-Shoae, J., Sadeghi, O., Keshteli, A. H., Afshar, H., Esmaillzadeh, A., & Adibi, P. (2018). The association between dietary intake of magnesium and psychiatric disorders among Iranian adults: a cross-sectional study. British Journal of Nutrition, 120(6), 693-702.

Maxime Tarcher Psychologue spécialisé dans les angoisses angoisse

J’utilise une stratégie basée sur l’introspection

Dans un premier temps, nous allons dresser le profil de l’angoisse : récurrence, déclencheurs, … puis nous attaquerons les liens inconscients qui se jouent, à savoir pourquoi l’angoisse est présente. Le but est d’attaquer le problème de fond, afin de briser le cycle de la crise d’angoisse. Je ne m’attarde pas sur l’origine, mais sur le pourquoi de l’angoisse. Je pars en effet du postulat que celle-ci a un rôle à jouer dans votre vie, nous allons donc commencer par mettre le doigt dessus. On passe ensuite à la phase d’introspection, durant laquelle je vais vous décrire le protocole à suivre pour sortir des crises. Il suffira ensuite de l’appliquer lorsque l’angoisse se présente.

Vaincre les crises d’angoisse n’est pas anodin, c’est un évènement qui enlève une immense charge mentale et qui permet de revivre, littéralement. Soyez rassurés, ceux que j’accompagne m’expliquent bien être à la recherche d’une solution vraiment efficace pour sortir de l’angoisse. Ils ne veulent pas de théorie, ne s’intéressent pas à l’origine du problème, ne veulent pas parler en monologue au psychologue ou faire des techniques de relaxation. C’est précisément ma force : je propose une stratégie concrète basée sur l’introspection avec des étapes. Celle-ci donne des résultats dès la première séance. Ayant moi-même vécu des crises d’angoisse de mes 12 ans à mes 20 ans, je sais précisément par quoi vous êtes en train de passer. 

Comment se déroule la première consultation ?

Je propose des consultations d’1h00 en vidéo ou au cabinet. Lors de votre première consultation, soyez rassurés, vous n’aurez pas à « meubler » la conversation ou à parler allongé sur un fauteuil rouge. Nous échangerons en face à face et je vous poserai des questions. Dans ma pratique, je privilégie la thérapie brève. Je suis loin du stéréotype du psychologue qui passe la séance à hocher la tête avant d’encaisser la consultation, je propose toujours des stratégies concrètes pour aller mieux.

Comment travailler avec vous ?

Il suffit de se rendre sur Doctolib et de réserver un créneau sur l’agenda en ligne. Vous pouvez le faire en cliquant directement ici

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  • Penser à autre chose : sortir son téléphone, regarder une vidéo, écouter de la musique, … « Pense à autre chose ! » est le conseil n°1 de ceux qui n’ont jamais vécu de crises d’angoisse. Ce conseil peine à convaincre car il fait abstraction du fait que la pensée visualise la négation. Exemple : ne pensez pas maintenant à du ketchup qui dégouline sur votre main droite. Pas évident. De la même manière « pense à autre chose au lieu de paniquer » est un conseil difficile à appliquer. D’autant que ne penser à « rien », c’est déjà penser à quelque chose.
  • Techniques de respiration / relaxation : se focaliser sur sa respiration pour tenter de ne penser à rien est une stratégie efficace pour apaiser l’angoisse, mais aussi pour la reporter à plus tard. Cela permet de vivre avec, jusqu’à ce que l’on tombe sur le facteur déclencheur ou que la peur d’avoir peur prenne le relais.
  • L’activité physique : permet de réduire le stress et les tensions. Que ce soit la marche, le yoga, le tennis, le vélo ou la danse, cela aide à se détendre et à gérer l’excès d’hormones de stress, telles que l’adrénaline et le cortisol. Cela permet de vivre avec l’angoisse, jusqu’à ce que l’on tombe sur le facteur déclencheur ou que la peur d’avoir peur prenne le relais.
  • Eviter les facteurs aggravants : la consommation d’alcool, de caféine et de substances augmente le risque de subir une crise de panique. Toutefois, cette stratégie est plutôt d’ordre préventive, car si la crise de panique est déjà survenue, la peur qu’une nouvelle crise survienne peut suffire à faire perdurer les attaques de panique même en cas d’arrêt des prises.
  • Se persuader que la crise va passer : si l’on met de côté le fait qu’il est difficile de se persuader lorsqu’on a l’impression de mourir, avoir en tête que « la crise va passer dans 10 minutes » est une stratégie qui marche pour s’apaiser temporairement. Cela va rationnaliser l’angoisse avec l’idée de fond qu’elle ne va pas nous faire trop de mal. Encore faut-il arriver à s’en convaincre. Cette façon de procéder rencontre donc ses limites avec la peur de la peur : « et si jamais elle ne passait pas dans 10 minutes ? ».
  • Les médicaments : les anxiolytiques sont efficaces pour apaiser les crises si elles sont incontrôlables. Trois problèmes surviennent cependant rapidement : l’accoutumance (il en faut plus pour le même résultat car le corps va s’habituer à la dose), la dépendance (avec la peur : « si je n’en prends pas ou si je n’en ai pas dans la poche, je peux faire une attaque de panique »), et la somnolence (beaucoup de patients me rapportent des états léthargiques à la suite de la prise d’anxiolytiques). C’est une bonne aide sur le court ou moyen terme, mais le mieux reste de dépasser définitivement les angoisses afin de ne pas devenir dépendant des calmants.

Photo d'illustration du scepticisme sur le site de Maxime Tarcher Psychologue spécialisé dans les angoisses angoisse

Comment ne pas être sceptique ou désabusé lorsqu’on passe des mois (ou des années) avec l’impression de mourir et qu’on a tenté 100x de sortir des crises, mais sans jamais y arriver ? Les gens qui viennent me voir sont heureusement sceptiques et à juste titre : ils n’en peuvent plus des faux espoirs et des techniques de relaxation.

Voici le profil des patients que j’accompagne :

  • Ils ont réalisé des tas d’examens médicaux qui ne donnent rien,
  • Ils ont essayé des thérapeutes qui n’ont rien fait (ou équivalent),
  • Ils prennent des tas de médicaments et ne peuvent plus s’en passer,
  • Ils ont essayé toutes les stratégies connues sans résultats : penser à autre chose, méditation, relaxation, …
  • Ils sont dans une souffrance quotidienne abyssale et personne n’arrive à les comprendre dans leur entourage proche,
  • Ils pensent que leur cas est différent des autres, qu’il est plus grave ou plus difficile,

Alors pourquoi les choses seraient-elles différentes avec moi ?

Simplement parce qu’on ne va pas fuir l’angoisse, mais la vaincre. J’aborderai avec vous une stratégie concrète avec des étapes, basée sur l’introspection. Ceux que j’accompagne m’expliquent être à la recherche d’une solution vraiment efficace pour sortir de l’angoisse. Ils ne s’intéressent pas à l’origine du problème, ne veulent pas parler en monologue au psychologue ou faire de la relaxation. Ayant moi-même vécu des crises d’angoisse de mes 12 ans à mes 20 ans, je sais qu’il est impossible de s’imaginer pouvoir en être libéré un jour. C’est pourtant possible et j’aurais moi-même tout donné pour trouver une personne capable de m’aider en ce sens.

Il est important de mentionner que la crise d’angoisse est une épreuve que nous devons franchir seuls, c’est d’ailleurs le but de vaincre la crise : reprendre notre vie en main. Je ne peux donc jamais donner de garantie de résultats, parce que la finalité ne dépendra pas uniquement de moi (fuyez d’ailleurs ceux qui affirment 100% de résultats). Je peux en revanche vous affirmer que tous ceux qui sont venus me voir à ce jour (une petite centaine de patients chaque mois en 2022), sont repartis avec une stratégie concrète à appliquer et heureux de sentir que les choses bougent enfin. Une majorité ont eu besoin de moins de 4 séances pour sortir des crises d’angoisses, le protocole que je propose étant à appliquer entre les séances. Nous mettrons tout en oeuvre pour que vous vous en sortiez, peu importe la force de vos peurs.

Maxime Tarcher
Psychologue à Antibes
en cabinet ou vidéo depuis chez vous

❝C’est dans l’heure qui précède l’aube qu’il fait le plus sombre. A très bientôt, la santé et beaucoup d’amour dans votre vie.❞
– MT