❝ Je vous accueille à mon cabinet de psychologue à Antibes (centre-ville), situé à la Galerie Gambetta, dans les meilleures conditions d’écoute et de conseils. Du thé et des chocolats vous seront proposés pour commencer la séance.
❞
Maxime Tarcher – MonPsychologueAntibes.com
Vous délivrer d’une peur, libérer vos émotions ou penser moins par exemple. Avec un esprit plus clair, il est possible de trouver un sommeil de qualité et donc de gérer plus efficacement sa vie pro et perso. Nous verrons comment lâcher prise et laisser derrière soi ce qui n’est plus nécessaire. La joie de vivre en découle, avec l’envie de réaliser ses projets.
Savoir ce qui compte vraiment pour soi est très important, car cela offre un axe vers lequel diriger sa vie. Mais qu’est-ce qui compte vraiment ? Il est parfois bon de faire le point et trouver des réponses à des questions existentielles. Les crises (burnt-out, dépression, rupture, …) sont une opportunité pour équilibrer notre vie et apprendre à mieux nous connaître.
…
Cliquez ici pour voir tous les témoignages
Adultes et jeunes
à partir de 16 ans
70€
Carte bancaire
Chèque / Espèce
Réduction : 50€
étudiants / en recherche d’emploi (sur justificatif)
1h00
Minimum par consultation
À définir
avec le patient
( – de 4 en moyenne)
Cabinet ou vidéo
mais uniquement en consultations individuelles
> Sécurité Sociale : non
> Mutuelle : demander à votre conseiller
Cabinet de Psychologue Maxime Tarcher
24 Avenue Gambetta
06600 Antibes
E-mail : maximetarcher@gmail.com
Port : +33 6 73 14 05 00
Parking « JM Poirier »
8 Avenue Tourre, 06600 Antibes
En face de la Galerie Gambetta
Tarif 1h30 = 5€
Ouvert 24/24 – 7 jours / 7
Arrêt « Dugommier »
Traverser la rue
Aller en face à la Galerie Gambetta
Accueil au cabinet de psychologue à Antibes dans le respect des gestes barrières contre la COVID-19
(gel hydroalcoolique à disposition, nettoyage entre chaque patient, masque obligatoire)
Si on veut obtenir quelque chose que l’on a jamais eu,
il faut tenter quelque chose que l’on n’a jamais fait.
– Périclès
Psychologue à Antibes et conférencier professionnel en France, Belgique et Suisse, je suis spécialisé dans la mémoire et passionné par la connaissance de soi. Chaque trimestre depuis 5 ans, j’accompagne plus d’une centaine de nouveaux patients lors de consultations d’1h vers le mieux-être et la réalisation de soi.
MON OBJECTIF
Que ceux que j’accompagne aillent mieux le plus rapidement possible.
Pour cela, je développe la connaissance de soi, c’est-à-dire l’art de mieux se connaître : gérer ses pensées, maîtriser ses biais psychologiques, libérer ses émotions, comprendre les messages de son inconscient et savoir écouter son corps. Ma pratique est à la croisée de la pleine conscience, et des courants humaniste et transpersonnel. J’accompagne donc également les demandes en lien avec la spiritualité (parcours introspectif, expérience initiatique ou extraordinaire de type mort imminente (EMI), abduction, …
OUTILS
J’utilise les méthodes du courant de la Mindfullness (pleine conscience), la conversation hypnotique d’orientation Ericksonienne, la désensibilisation progressive, la thérapie par l’engagement, l’écoute flottante, l’analyse du non-verbal et le langage symbolique. Nous mettons également en place des étapes à faire entre les séances pour accélérer la sortie de la problématique.
POSITIONNEMENT
Je suis loin du stéréotype du psychologue qui passe la séance à hocher la tête avant d’encaisser la consultation. Je suis plutôt du genre à proposer des pistes concrètes pour aller mieux. Vous m’apprécierez donc si vous aimez recevoir des retours pour que les choses évoluent. Aucun engagement : vous déciderez toujours librement si vous souhaitez ou non poursuivre les séances.
En parallèle de mon activité de psychologue à Antibes, je réalise du coaching en prise de parole et des conférences de type spectacle lors de séminaires en entreprise et dans les établissements scolaires sur la mémoire, sur Compostelle (voir les vidéos ci-dessus) et sur la prise de parole. Passionné par la spiritualité, les rites de passage et la connaissance de soi, j’effectue également des aventures introspectives : marches sur des milliers de kilomètres à pied (Compostelle, Rome…), parcours d’initiations avec les peuples indigènes et pratiques méditatives de différents courants.
Je vous souhaite une agréable navigation sur mon site.
Vous l’avez remarqué, tous les psy travaillent d’une façon différente. Un psy silencieux va convenir à certains quand d’autres préfèreront un psy qui parle. Le plus important est de faire marcher votre intuition : si vous vous sentez à l’aise dès la première séance, c’est surement le bon !
Pour ma part, je suis un psy qui cause autant qu’il écoute.
Je n’hésite pas à dire ce qui me traverse l’esprit, ce que je ressens, l’angle de vue que j’ai sur la situation et la façon dont j’envisage les choses. Je suis donc un psychologue qui conviendra parfaitement à ceux et celles qui veulent des retours pour que les choses évoluent.
Les psychologues sont associés depuis plus d’un siècle dans l’imaginaire collectif à la psychiatrie et aux blouses blanches, à l’image du film « Vol au-dessus d’un nid de coucou » avec l’acteur Jack Nicholson. Cependant, il n’en est rien. Les gens qui viennent me consulter sont des humains, qui rencontrent des problèmes humains. A mon sens le véritable problème, c’est de considérer que la folie ne fait pas partie de l’être humain. Dire par exemple de quelqu’un « qu’il est fou parce qu’il a des crises d’angoisse », c’est une manière de nier que cela pourrait nous arriver. Cette réaction qui consiste à pointer les autres du doigt en disant qu’ils sont fous n’est qu’une réaction automatisée gouverné par la peur et teinté d’un manque d’humilité et d’ouverture d’esprit. Nul n’est à l’abris d’avoir besoin d’aide lorsque les frontières de son espace psychique vacillent. La folie fait partie intégrante de l’expérience humaine, il faut simplement apprendre comment y naviguer pour éviter de s’y noyer.
Par ailleurs, si vous vous posez la question de savoir si vous êtes fou, c’est déjà bon signe, car une personne qui a réellement basculé dans la folie n’a souvent plus de contact avec ce niveau de réalité ! Soyez rassuré : 95% des gens que j’ai eu à ce jour dans mon cabinet et qui pensaient être fou étaient juste des gens qui sortaient des sentiers classiques établis par la société, la culture, le travail ou la famille. Le problème vient souvent d’une vision réductrice de notre part ou de celle de l’entourage qui ne s’accorde pas avec nos envies ou convictions profondes.
Par exemple :
– Lancer une entreprise et ne plus avoir un salaire fixe c’est être fou,
– Avoir des orientations sexuelles ou des fantasmes peu communs c’est un truc de fou,
– Penser que les extra-terrestres existent et être persuadé d’en avoir observé, c’est être un fou,
– Avoir des attaques de panique et imaginer des scénarios horribles c’est être fou,
– Ne pas arriver à dormir parce qu’on imagine qu’un monstre se cache sous le lit à l’âge de 55 ans, c’est être fou,
– Avoir des rêves dans lesquels on étripe la belle-mère, c’est être fou, …
Vous le comprenez, « être fou » est une notion très subjective. Gardez cependant en tête que tant que l’apparente problématique n’entrave pas votre vie et n’empiète pas sur la liberté des autres, tout va bien. Sortir des normes peut vite paraître dingue lorsqu’on oublie que le monde est vaste et qu’il y a des milliards de gens avec des visions différentes. Il ne faut pas confondre la folie avec ce qui fait notre singularité, car ce qui n’est pas considéré comme normal peut être l’opportunité d’affirmer notre différence. En élargissant son point de vue, ce qui paraît anormal redevient normal et c’est souvent là que commence le travail.
Il existe aussi la possibilité que vous n’ayez que peu ou plus de contact avec ce niveau de réalité. Cela signifie que vous avez un pied dans le monde onirique (ou autre) et un autre dans ce niveau de réalité, mais que les deux se croisent au point qu’il devient difficile pour vous de savoir où vous vous situez. Crise psychotique induite ou non à la suite de la prise d’hallucinogènes, schizophrénie, troubles bipolaires, bouffée délirante aigüe, crise d’émergence spirituelle, … Si le diagnostique est posé par un psychiatre (médecin), rassurez-vous là aussi, car il est toujours possible d’apprendre à naviguer dans les eaux de la folie. Il y a une phrase que j’aime beaucoup qui dit : « Le mystique nage dans les mêmes eaux dans lesquelles le psychotique, lui, se noie… ». Une vision du psychiatre Carl Gustave Jung que je partage, car un haut niveau de différence nécessite une grande capacité d’adaptation. C’est alors dans l’art de jongler entre son extrême singularité et ce niveau de réalité que le travail commence.
Si beaucoup de gens attendent que ça aille très mal avant de consulter, il est évidemment préférable de ne pas attendre si vous sentez que vous avez besoin d’aide. Mais la limite de son propre corps est parfois difficile à connaître et à écouter. Je reçois ainsi des gens qui m’expliquent avoir attendu d’être en proie au burn-out avant de se décider à consulter :
Marie, 44 ans, témoigne :
« Tant que je pouvais encore supporter ceci ou cela, je continuais ma routine… Parce qu’après tout, j’ai toujours fait comme ça. Personne ne se plaint dans ma famille. C’est difficile pour tout le monde, alors j’ai appris à serrer les dents.«
L’être humain décide bien souvent de changer uniquement lorsque la souffrance est à sa portée. Le problème, c’est lorsqu’on est habitué à souffrir, le corps ne perçoit plus les alarmes… et ça lâche : burn-out, dépression, crise, … Dans l’idéal, la consultation chez un psychologue est donc conseillée lorsque les premiers signes du mal-être pointent, parce qu’il est inutile d’attendre que la situation se dégrade. Plus un problème est abordé tôt, moins il a de chances de devenir épineux !
Non,
pour la simple raison qu’un psychologue n’est pas un médecin (à la différence d’un psychiatre par exemple). Je ne suis donc pas habilité à vous réaliser une ordonnance. Toutefois, m’étant formé à l’utilisation des huiles essentielles et des compléments alimentaires à l’EFAI (Ecole Française d’Aromathérapie Intégrative à Paris), il m’arrive de suggérer des solutions afin d’accompagner une problématique. Des minéraux pour les troubles anxieux ou du sommeil, certaines vitamines pour les déprimes ou des huiles essentielles pour apaiser le mental sont parfois des aides précieuses pour avancer plus rapidement. Ces suggestions se basent sur l’appui d’études ayant montré des effets statistiques supérieurs aux placebos et je peux en fournir les références sur simple demande.
Il est évidemment difficile de répondre précisement à cette question, car cela dépend de la problématique. Il est aussi possible de résoudre une problématique et qu’une autre se présente, à l’image de l’arbre qui cache la forêt.
Toutefois, statistiquement, la plupart de mes patients n’excèdent pas 4 séances.
Je ne définie jamais seul la prochaine consultation à mon cabinet. C’est ensemble que l’on décide ce qui est le mieux, ce qui donne parfois des consultations toutes les 2 semaines ou tous les mois. C’est une décision commune prise en fonction de l’avancée dans la résolution de la problématique.
Malheureusement, à l’heure actuelle (1er octobre 2021) les consultations chez un psychologue indépendant ne sont pas remboursées par la sécurité sociale. Je ne peux donc pas accepter la carte vitale. Voici cependant des informations importantes :
Toutefois, les consultations chez un psychologue seront remboursées sur prescription médicale dès l’âge de 3 ans à partir de 2022, a précisé fin septembre 2021 le président de la République lors des Assises de la santé mentale. Les conditions pour y avoir accès seront les suivantes :
Autrement dit, si vous consultez un psychologue en 2022 dont la séance classique coûte 70 euros, vous ne serez pas remboursé à hauteur de 30 euros par la Sécurité sociale et n’aurez pas non plus un reste à charge de 40 euros. Seules les séances plafonnées à 40 ou 30 euros seront prises en charge. Les 40 euros ou 30 euros des séances seront répartis entre l’Assurance maladie et la complémentaire santé du patient, qui n’aura donc en théorie aucun reste à charge. Restera donc à dénicher un rendez-vous avec un professionnel qui accepte de pratiquer ces tarifs plutôt bas par rapport à ce qui est habituellement pratiqué.
Certaines mutuelles proposent des remboursements pour quelques consultations. N’hésitez pas à demander auprès de la vôtre. De plus, depuis la crise du COVID-19, une directive semblait être en train de passer (Mars 2021) pour que 4 consultations soient prises en charge à hauteur de 60€, si vous veniez consulter de la part de votre médecin traitant. N’hésitez pas à appeler directement votre mutuelle ou à regarder sur internet pour savoir où en est cette procédure ?
Si les consultations chez un psychologue indépendant ne sont pas remboursées, ce n’est pas le cas des psychologues en hôpital ou en centre médico-psychologique (CMP). Les consultations chez ces derniers peuvent être remboursées à hauteur de 70% du tarif conventionné, sous réserve que vous veniez de la part de votre médecin traitant. Il est possible que la prestation soit toutefois différente d’un psychologue indépendant (cadre, temps d’écoute et façon de travailler différente).