Psychologue antibes

Que ce soit dans les relations de couple, les ami(e)s ou la famille, c’est l’impression d’avoir besoin d’un autre que soi-même pour vivre. Souvent, il s’agit d’une personne qui va prendre une trop grande importance dans notre vie. On redoute son départ et par extension notre propre solitude. Le vide nous est insupportable. Souvent, on s’occupe alors l’esprit pour éviter qu’il y ait du silence. “Je n’arrive pas à le quitter même si je ne l’aime plus.” / “Je n’arrive pas à la laisser même si elle me fait souffrir.” Je peux vous accompagner pour que vous puissiez vous-même combler le vide et éviter de retomber dans le cycle de la dépendance, qui se rejoue d’ailleurs généralement plusieurs fois tant qu’il n’est pas résolu. On parlera de la quête de la solitude, et/ou d’une partie plus jeune de vous qu’on gonflera à bloc en confiance pour ne plus avoir peur de se suffire à soi-même.

Faire un choix, c’est souvent synonyme de renoncer… et ça fait peur ! Prendre des risques et/ou sortir de sa zone de confort ce n’est pas toujours facile. On sait souvent ce que l’on va perdre, mais rarement ce que l’on va gagner… “J’ai peur de dire ce que j’ai sur le cœur”, “J’ai peur de m’engager”, J’ai peur de faire un coming-out”, “J’ai peur de faire cet investissement”, “J’ai peur de de changer de vie ou de voyager, …”. Je peux vous accompagner sur ce motif en vous aidant à comprendre les enjeux inconscients derrière une décision. Pouvoir prendre du recul sans peur du jugement, ça fait toujours beaucoup de bien. Je peux aussi vous aider à franchir le pas vers quelque chose que vous savez déjà plus ou moins consciemment. J’ai remarqué que souvent la décision est déjà plus ou moins prise avant même d’entrer dans le cabinet, mais quelque chose bloque pour vraiment faire pencher la balance. Si c’est le cas, on parlera à ce blocage, que ce soit une peur irrationnelle ou une inquiétude réelle de type finance ou santé. Attention, je n’accompagne évidemment pas à faire le “bon” choix, simplement parce que je ne le connais pas et que vous êtes seul décisionnaire dans votre vie.

Dépression, crise de la 40ene, deuil, burn-out, changement de vie, crise identitaire ou existentielle, tout le monde va vivre plusieurs période de crise dans sa vie. Dans la langue chinoise, le mot “crise” est composé de deux idéogrammes : le premier caractère « danger » représente un homme au bord d’un précipice. Le second, signifie opportunité ou chance. Car c’est aussi cela la crise : la possibilité de se reconnecter profondément à soi pour avancer. C’est le moment : d’oser enfin faire ce qui est important pour soi, de ritualiser notre passage d’un état à un autre ou de marquer le départ d’un proche. Si vous traversez une crise, je peux vous accompagner pour qu’on en comprenne ensemble son sens (s’il y en a) ou mettre du sens dessus (si besoin). On peut aussi réfléchir à un rite de passage pour tourner une page et intégrer ce que la crise invite à lâcher.

Chacun possède sa propre définition de la spiritualité, qu’il ne faut pas confondre à mon sens avec religion. Je vais donc repartir de la racine latine spiritualis qui signifie littéralement “la vie de l’âme” ou “ce qui est relatif à l’esprit”. C’est tout l’objet de ce motif : redonner de l’âme, entendez du sens, de la valeur, à ce que l’on fait et à ce que l’on devient. Cela peut être par exemple : approfondir son humilité face à la vie et la mort, réfléchir à notre place en tant qu’être humain et en tant qu’espèce, penser le fameux “qui suis-je”. J’accompagne sur ce motif ceux pour qui ces questions sont importantes : les personnes en fin de vie ou en quête de sens, ceux qui se sont confrontés à eux-mêmes lors de voyages intérieurs, ou ceux qui affrontent de terribles épreuves. Ce motif concerne aussi ceux qui vivent des expériences dites extraordinaires de type EMI, OBE ou abduction, ceux qui sont déjà dans un cheminement introspectif. Je peux vous accompagner pour qu’on puisse penser ensemble ces éternelles questions. Ce type de demande emmène souvent sur des échanges profonds sur le sens de la réalité que nous vivons. Des échanges remplis de bienveillance desquels émerge parfois une forme de sagesse commune qui va nourrir l’âme et le cœur.